Vous voulez faire plaisir à vos convives avec une valeur sûre qui ne vous demandera pas de passer des heures derrière les fourneaux ? Vous êtes au bon endroit !
palets de Pélardon AOP (disponible sur notre site)
Du miel liquide, bio et de qualité
1 pâte feuilletée, réalisée par vos soins ou achetée en magasin
1 jaune d’œuf
Un peu de thym
Aujourd’hui, c’est une recette de petit four salé que nous avons décidé de partager avec vous : une recette gourmande et réconfortante qui ne laissera personne indifférent, son succès reposant en grande partie sur l’association du miel et du chèvre. Nous vous conseillons d’ailleurs de conserver votre fromage dans un emballage sous vide avant de l’utiliser, afin qu’il conserve toutes ses qualités gustatives et nutritionnelles.
Dans l’imaginaire collectif, les « petits fours » désignent des pâtisseries salées et de petite taille servies en apéritif ou en entrée pour entamer un repas sur de bonnes bases. Pourtant, l’expression désigne de la même manière les pâtisseries sucrées, cuites similairement et présentant les mêmes dimensions : macaron, meringue, biscuit…
Ceci étant dit, il semblerait que l’expression soit apparue après la Renaissance. Ainsi, puisqu’il était, faute de moyens, impossible de régler manuellement la température de l’appareil, les gourmets de l’époque distinguaient le « grand four » du « petit four » pour réussir leurs cuissons. Le four était « grand » lorsque le feu l’était également et que sa température permettait de faire cuire d’imposantes pièces de viande. Il était « petit » dès lors que le feu avait perdu de son intensité, et on utilisait alors la chaleur résiduelle de l’appareil pour faire cuire des mets et des préparations nécessitant une cuisson moindre, comme des gâteaux par exemple. Avec le temps, de nouvelles créations culinaires faisant appel au « petit four » voient le jour. Parmi elles, des pâtisseries, salées et sucrées, apparaissent au tout début du 19ème siècle : on les appelle « pièces de petit four » avant de les renommer « petits fours » quelques décennies plus tard.
En plus de son goût sans pareil et des bienfaits avérés de sa consommation, le miel possède des propriétés auxquelles notre peau est plus que réceptive. Ainsi, la substance naturelle est reconnue pour son action cicatrisante et son utilisation dans certains produits cosmétiques rend ces derniers plus efficaces contre des problèmes tels que l’acné ou la sécheresse cutanée. Utilisé de la sorte, le miel permet également à la peau de rester hydratée, en renforçant son film hydrolipidique. Pour finir, sa forte teneur en antioxydants et en oligo-éléments permet d’accélérer, dans une certaine mesure, la régénération cellulaire, un processus naturel limitant le vieillissement cutané.
Le macaron figure parmi les spécialités françaises les plus connues au monde. Il s’agit d’un petit gâteau sucré, de forme arrondie, dont l’origine remonte au 18e siècle.
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